Qu'avez-vous prévu en communication pour 2020 ?
Si vous répondez…
– « une vidéo en motion design », perfect! RDV sur notre page contact.
– « une vidéo », on vous invite à continuer la lecture de cet article et ensuite à vous rendre sur nos offres.
– « je ne sais pas » ou « pas de vidéo en tout cas » (on vous fait les gros yeux derrière notre écran), on vous recommande fortement de lire cet article qui suit et de découvrir qui nous sommes et ce que nous proposons !
Vous l’avez peut-être compris, la question tient plus de comment vous allez vous y prendre, surtout pendant cette crise sanitaire…
Avant-tout
À l’heure actuelle, 84 % de tout le trafic sur Internet est dédié uniquement à la vidéo sous toutes ses formes. La vidéo est le format le plus mis en ligne par les entreprises et celui que les consommateurs plébiscitent le plus. Pour être visible il est absolument nécessaire d’avoir un plan de communication qui prend en compte la vidéo.
De plus, l’avantage d’un tel contenu est qu’il est facilement partageable sur tous les types de réseaux sociaux comme professionnels. Par ailleurs, plus le taux de partage est important, plus le référencement de votre site sera bonifié. Le taux de transformation pour chaque lead généré grâce à une vidéo est bien plus important car le prospect connaît déjà votre activité, ou a déjà pu voir une démonstration de votre produit ou service. Pour celui qui clique sous la vidéo, seules compte dorénavant ces questions : à combien et comment j’achète ?
Ainsi, pour vous nous allons répondre à quelques unes de vos interrogations afin de vous aider à passer le cap : comment produire votre vidéo ? Et pas n’importe laquelle, celle en motion design !
À travers la vidéo et l’article ci-dessous, découvrez les différentes étapes de réalisation afin d’en connaître tous les aspects.
Vous le savez, une campagne de communication se prépare un minimum. La vidéo animée demande quelques attentions particulières qu’il faut connaître avant de se jeter à corps perdu dans l’aventure du motion design.
Pour pouvoir avancer efficacement avec le professionnel avec lequel vous avez décidé de travailler, nous vous proposons ce guide de production.
Différentes étapes à connaître
Briefing complet
Première étape essentielle à tout travail en équipe, vous avez des besoins et des objectifs à atteindre. Les formuler clairement vous aidera à avancer sereinement et efficacement.
En premier lieu, recentrez-vous. Qui êtes-vous, que faîtes-vous ? Quelles sont vos valeurs ? Trouvez des mots-clés pour vous qualifier et des visuels pour vous représenter (votre charte graphique préexistante), quitte à les améliorer voire à les créer ensemble.
Votre stratégie de diffusion tient aussi beaucoup à votre cible. Qui voulez-vous atteindre ? Et quel est le message que vous souhaitez véhiculer ?
Ces diverses questions vous aideront à définir votre cahier des charges. De plus, le prestataire y verra votre identité et pourra ainsi la retranscrire dans votre vidéo.
Les techniques utilisées devront être proposées par l’équipe audiovisuelle à ce moment, qu’il s’agisse de 2D simple, de projection isométrique (2,5D) ou de 3D.
Les styles graphiques sont également essentiels, bien que propre à chaque illustrateur. Il existe des grandes tendances qui épouseront votre charte graphique actuelle ou au contraire s’en distingueront, en fonction des réactions que vous voulez susciter sur vos communautés.
Si vous avez des doutes sur l’approche à suivre, n’oubliez-pas que le prestataire est là aussi pour vous conseiller sur ces choix.
Chez Arty Steam, vous êtes accompagnés tout le long de la chaîne de production.
Écriture
Ça y est, nous rentrons dans le vif du sujet. Cette étape de scénario vous permet de rédiger avec exactitude ce qui sera dans votre vidéo en termes de contenu et de message. Vous allez également pouvoir décider de la forme de votre propos et du ton employé.
C’est aussi à cette étape qu’il est possible d’estimer un premier minutage de votre vidéo. Les informations qui y figurent auront-elles le temps d’être assimilées ? Non ?
Dans ce cas, il est peut-être souhaitable d’être plus concis, ou d’allonger en conséquence la durée envisagée. Les échanges avec votre prestataire vous permettront d’avoir une bonne idée du rendu final de votre vidéo.
Storyboarding
Il s’agit de la première mise en image de la vidéo. L’idée ici est de représenter les étapes clés de l’animation afin de pouvoir régler les transitions entre les séquences. pour ensuite échanger entre client et prestataire sur les points de design à modifier si nécessaire.
Cette étape est essentielle pour du motion design, elle sert de guide durant tout le processus de production qui suit.
Maquettage
Pour imager simplement on redessine tout proprement et on complète ce qui est manquant. Il s’agit de réaliser numériquement chaque décor, et dans celui-ci dessiner chaque élément qui le complètera (personnage, objet, icône).
La maquette, composée pour l’instant d’images fixes, est ensuite envoyée au client pour validation. À ce stade, le client peut se faire une idée concrète de la forme et du fond à l’image, et doit poser ses questions s’il en a encore et demander toutes les modifications qu’il souhaite voir opérées si besoin.
En effet, si des modifications de maquettage interviennent plus tard, lors de la validation de l’animation par exemple, des coûts supplémentaires seront à prévoir.
Animation
Tous les éléments réalisés durant le maquettage sont placés dans un logiciel d’animation (comme Adobe After Effects). L’animateur va ainsi transformer les images fixes en véritable film en se basant sur le story board et le scénario. Il anime les éléments dessinés et travaille les transitions entre décors, en adjoignant des effets visuels.
Si du texte est ajouté à l’image et fait partie intégrante des éléments visuels, celui-ci est créé à ce moment-là et rythmé en fonction des visuels déjà présents.
Post-production
Eh oui, même en motion design il y a une étape de postproduction. L’animateur vérifie les couleurs, les formes, l’ensemble de l’animation visuelle.
L’ingénieur du son crée toutes les illustrations sonores (bruitage d’une porte, un verre qui se brise, une idée qui émerge). Ces dernières permettent de soutenir le propos et de donner plus d’impact à l’animation. Le résultat est beaucoup plus vivant et gagne du sens.
La musique et la voix off sont également enregistrées et mixées par l’ingénieur du son, ensuite c’est le chef monteur qui s’occupe d’ajouter toutes les ressources sonores au montage.
La vidéo est ensuite soumise au client pour validation.
Sous-titrage
Décidé lors de l’établissement du cahier des charges, le sous-titrage fait partie de la postproduction. Il peut être intégré sur l’image ou préparé en fichier séparé (comme le .srt) : l’un et l’autre ont des avantages et des inconvénients.
Le sous-titrage est important, même en motion design, car il est une solution aux demandes d’accessibilité par les communautés (sourds et malentendants, spectateurs étrangers). Il est aussi une réponse aux habitudes et usages des utilisateurs du web (multi-plateformes : plateformes d’hébergement, réseaux en ligne ; multi-supports : smartphone, tablette, ordinateur, TV ; et à tout moment : au travail, dans les transports, chez soi, en évènements, etc.).
Diffusion
Elle commence par votre prestataire qui encode et exporte un Master (le fichier non compressé, dans la meilleure résolution qui soit), puis autant de fois qu’il le faut des exports compressés de votre vidéo. Et ce, en différents encodages en fonction des diffusions prévues et inscrites dans le cahier des charges.
L’hébergement de la vidéo sur YouTube ?
Un export est réalisé pour la plateforme, avec un fichier de sous-titrage dédié par langue, et la fiche de la vidéo est rédigée (titrage, descriptions, mots-clés, miniatures, autorisations diverses…).
L’hébergement directement sur Facebook (et non un partage depuis YouTube) ?
Là encore, un export est réalisé pour la plateforme, avec un fichier de sous-titrage dédié par langue, et la fiche de la vidéo est rédigée (titrage, descriptions, mots-clés, miniatures, autorisations diverses…).
Ne négligez rien de cette partie, particulièrement le post qui partagera la vidéo. On y ajoute des mots clés, des hashtags, en fonction du thème abordé, de la cible visée, de la période de l’année, etc. Cela paraît anodin, mais elle participe à la portée finale de la vidéo, donc soyez préparés !
Dans cette dernière étape, notre équipe peut vous apporter des conseils si vous en avez besoin. Sachez qu’il est également recommandé de sponsoriser la vidéo de manière à maximiser votre potentiel de vues et à multiplier les points d’accroches avec vos cibles.